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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 09:36

Trierweiler1La lettre ci-dessous de ce ministre gaulliste et de droite est belle. Elle s'adresse à Madame Trierweiler Valérie qui n'est pas digne de représenter la France au côté de Monsieur Hollande. Cette femme jalouse use de procédés honteux pour essayer de se venger et manifester sa jalousie avec l'ancienne compagne de son copain actuel, le Président de la France.

Valérie Trierweiler est jalouse, elle n'a pas fait quatre gosses au Président, elle n'a pas fait l'ENA, elle n'a jamais été candidate au poste de Présidente de la République, elle n'a jamais été députée, en finalité elle n'est même pas aussi belle que Ségolène Royal. Elle a des comportements enfantins

Seuls les électeurs de la Rochelle décideront dimanche qui de Royal ou Forlani gagnera les législatives dans cette circonscription. La lettre de Monsieur Debré est simplement magnifique.

Lettre à la "1ere petite amie de France", la "First Girl Friend

"Madame,

Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.

Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.

Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.

Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État

Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivée et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.

Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?

Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris Match ».

Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !

Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !

Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des 4 enfants de François Hollande. Il semblerait qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.

Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.

Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l’élection présidentielle de 2007.

Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.

Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous prenez position pour un candidat ?

Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.

Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».

Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Elysée, ces dîners officiels où votre place était équivoque, alors que Ségolène, rayonnante, aurait été proche de votre ami par la grâce du protocole. D’ailleurs, c’est pour cette raison déjà qu’à La Rochelle, vous aviez exigé, semble-t-il, que François Hollande parle de vous comme de « son unique amour ». Petite flèche empoisonnée dans le dos de Ségolène Royal.

La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.

Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.

Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.

Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise.

- Pr. Bernard DEBRÉ
- Ancien Ministre
- Député de Paris"

 

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 21:44

Momer.jpgCe jeune français, a « pété » un cable, il a commis des horreurs qui sont impardonnables. Il rentre dans la catégorie des criminels compulsifs et réfléchis de ces dernières années en Occident qui tuent des citoyens sans raison.

 

Il est choquant de voir des jeunes ou autre adultes ou jeunes adultes encenser cet assassin. C'en est un et l'un des plus détestables. Il ne sert à rien de le défendre ou de lui trouver une excuse. Cet homme, après avoir assassiner froidement des militaires, s'est acharné sur une famille. La confession de la famille importe peu, même si tout le monde sait que ce dernier crime dont il s'agit est un crime racial, confessionnel. Y a t'il de l'idéologie derrière les actes manqués de cet homme ? Il a profité véritablement de ses activités parallèles et a en fait, développé une haine inouïe des autres, mais en particulier de ceux qui pratique le judaïsme. Quelle Honte, cet assassin a montré, rien ne justifiait ses meurtres. D'ailleurs il est mort de façon honteuse. Que ces personnes qui essaient de le vénérer comprennent qu'ils cautionnent la bêtise et la méchanceté gratuite.

 

Mohamed MERAH a tué plusieurs personnes, il n'y a rien à apprécier dans ce qu'il a fait. Avait-il de la colère ? Cela n'intéresse personne, il ne mérite pas un pardon. Il s'est permis d'arrêter brutalement la vie d'enfants. Il est impossible de mettre ses crimes sur le compte de la colère. Au vu de ce qui s'est présenté, le criminel et décédé Mohamed MERAH, n'avait pas de colère. Il a prémédité ses meurtres. Qu'avait-il ? La colère ? Non ? Ce meurtrier ne pouvait avoir de la colère. Il n'était pas fou. Il est utile de rappeler que la colère est une émotion qui aliène le sujet, elle est une folie. L'ex-toulousain, a voulu que l'on parle de lui. Les média se sont penchés sur son cas et ce dernier a développé son côté noir, narcissique. La haine de MERAH a entretenu le ressentiment, tout ceci dans la pensée commune nourrissait son intention de nuire. Faut-il que ce soit aux autres d'assumer l'échec ou les échecs de sa vie ? Non, d'aucun dans nos cités ont facilement tendance à mettre la faute de leur échec personnelle sur les autres. Il est possible de vivre en cité HLM et de s'en sortir. Certes il n'y aura pas les mêmes moyens mis en œuvre que dans les banlieues riches. Les professeurs absents sont remplacés dans la banlieue riche, alors que dans la pauvre, les enfants, jeunes de collèges ou lycées vont se retrouver pendant plusieurs jours, voir semaine sans enseignant(e)s.

 

Tous les enfants de ce pays ne sont pas dans les mêmes draps que ceux des hommes politiques ou hommes et femmes d'affaires. L'absence de conditions matérielles et logistiques pratiques pour la réussite scolaire et plus tard professionnelle, ne justifie pas les assassinats de Mohamed MERAH, qui sont abjects. Il n'est donc pas nécessaire de faire passer MERAH pour un héros, c'est triste à dire, il est plutôt un ZERO, il a détruit n vies. Ce qui ne le grandit pas. Il pouvait avoir toutes les raisons du monde pour être en colère, cela ne justifiait pas qu'il déverse sa rage sur ses pauvres gens qu'il a tués, sur ces familles qu'il a disloquées. Non, Non, Mohamed MERAH, fût-il mort, ne mérite pas les honneurs que certains jeunes adultes, adultes ou adolescents et paumé(e)s de nos cités et banlieues font de lui.

 

La violence suppose un échappement au contrôle : l’explosion émotive se libère en déchaînements paroxystiques, cris et gesticulations. Mohamed MERAH est un personnage violent, incapable de se contenir, qui recherchait dans sa propre frénésie une sorte d’apaisement. C'était un homme en rupture sociale. Il était au plus mal car il ne parvenait plus à se retrouver. Il a franchi un cap où il s'est mis au banc de la société. Emporté par une tempête émotionnelle qui n'a aucune explication logique, Mohamed MERAH n'a pas semblé regretter ses actes, avant de se faire tuer, car c'est ce qu'il cherchait ou recherchait en fin de compte. IL aurait pu se rendre pour qu'il y ait un jugement, il a préféré disparaître et laisser tout le monde dans le doute et l'incompréhension. C'était un homme insociable. Son insociabilité a en effet précipité du changement dans son existence et la révolte injustifiée sur ces personnes exécutées. Derrière ses actes, il n'y a rien qui soit découvert, des injustices à dénoncer, des corruptions à combattre. Rien de tout cela. L’insociabilité, vue sous l'angle Mohamed MERAH, est extrême violence, et la violence détruit bien souvent ce que le temps a laborieusement construit. Comme tout le monde l'a vu et entendu durant plusieurs jours, la violence détruit l’homme. Il n'y a rien de positif dans la violence. Bien que le philosophe Kant nous laisse percevoir que la violence peut avoir un sens positif dans la mesure où elle peut contribuer au progrès de l’humanité dans l’Histoire.

 

Les personnes (jeunes, jeunes adultes, adultes) qui encensent ce que cet homme Mohamed MERAH a fait, semblent n'avoir rien compris à la vie. Ils n'ont pas besoin d'assimiler et de tout mélanger. Il ne faut pas non plus confondre le combat des palestiniens et Israël aux monstruosités de ce jeune français des cités. Ce n'est pas un conquérant qui doit être aimé ou vénérer, ce n'est qu'un Assassin. Il n'a gagné aucune victoire à part apporter le malheur dans des familles. Il n'est moteur de rien, encore moins Porteur d'un message. Il est à oublier, sans pour autant penser qu'il a été pardonné. Il n'a atteint aucune fin, à part la sienne. Il n'est détenteur d'aucune vérité.

 

Il faut oublier Mohamed MERAH et ne pas l'acclamer. Sa violence ramène à la Discorde et au Chaos.

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 23:52

Enyo : Celui, Celle

Abele melo : Qui a des oreilles

Awogo : Entende

E mam : Les choses

Nsisim : L'Esprit

Wakad : Tu dis

Menda : Les maisons

Menda me Zamba : Les Eglises

 

Makad : Je dis

Wakad : Tu dis

Akad : Elle dit

Byakad : Nous disons

Miakad : Vous dites

Bakad : Elles disent

 

Mabele : J'ai

Wabele : Tu as

Abele : Elle (il) a

Bybele : Nous avons

Mibele : Vous avez

Bebele : Ils (elles) ont

 

Sinagoge : Synagogue

Enyin dzoe : Ta vie, ton œuvre

 

A fet : Il ferme

A Mbè : Une porte

Menga yaè : J'ai ouvert

Wonga yaè : Tu as ouvert

Anga yaè : Il a ouvert

A mod : Personne

Ase (se prononce ASSE ) ki : Ne peut

A mod ase ki dzam fet : Que personne ne peut fermer

Afianan bo : Voici que

Obele ki : Tu n'as pas

Mfan ngul : de la Puissance

Mfan (se prononce AMFAN) : la vraie

Ngul : La force

Afianan bo na obele ki mfan ngul : Voici, parce que tu a peu de puissance, tu n'as pas de véritable force

onga nyie ebug dzam : Tu n'as pas renié ma parole

 

Tili engles : Écris à l'ange

 

FILADELFIA

 

Tili engles nda-zamba ya Filadelfia na : Eye akobo na, enyo y'ane mfufub aï Bebela, a abele edibiga David : ayaè, mod tege fet ; afede, mod tege yaè.

 

Mayem enyin dzoe : menga yaè wa mbè a osu, a mod ase ki dzam fet ; afianan bo na obele ki mfan ngul, da onga nyie ebug dzam, tege siie dzoe dam. Ma nyo mazu tedan eba ya sinagoge Satan.

 

Mimvomvol mite miasun etie Beyuden, mayi bo tedan na bezu wa kud meboan asi, beyem fe na menga din wa. Mbol anga baala ebug dzam aï fim, ma mayi fe wa kala a mebobela, mayi dzimbi si ese, ne bebobolo e bod bese ben asi.

 

Mbol onga baala ebug dzam aï fin,ma mayi dzimbi si ese, ne mebobolo e bod bese bene asi. Ma nyolo menga zu ya : toan bi aï mo mebè e dzom obele, mod aza fadi wa ekat dzoe.

 

Mayi bo na zingi evenan andie ya tempel Zamba woam : anga kwi ki fe a atan to eyon, ndo fe mayi nye kan aï dzoe Zamba woam, aï dzoe ya tison Zamba woam, mkpaman Yerusalem wasus ayob, abe Zamba woam, aï mkpaman dzoe ya mebege.

 

Enyo abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda me Zamba !

 

 

Philadelphie

 

 

Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira .

 

Je connais tes oeuvres. Voici, parce que tu a peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer.

Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan.

 

Que ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé.

Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.

 

Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne.

Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !

 

 

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 22:08

Pas-loin-des-quartiers-Ndjong-Melen-et-de-Ngoa-Kele.jpg

Dugan tsog : Rappelle-toi

 

Mayem : Je connais, je sais

 

enyin aligi ya wa : La vie qui te reste déjà

 

Mayem enyin dzoe : Je connais ta vie

 

Akobo : Elle (il) dit

 

Bayi wulu : Ils (elles) marcheront

 

 

 

Ma wulu : Je marche

 

Wa wulu : Tu marches

 

Awulu : Elle marche

 

Bya wulu : Nous marchons

 

Mya wulu : Vous marchez

 

Ba wulu : Elles marchent

 

 

 

Nde owu ya : Alors tu es déjà mort

 

Mimfum : Blancs

 

Abim mam enyin aligi ya wa : Toutes les choses qui te restent déjà dans ta vie

 

Enyo y'abele minsisim : celui qui a les esprits

 

Nda-zamba ya Sarda na : l'ange de l'Église de Sardes

 

Eye akobo na : Voici ce que dit

 

Tili engles : Écris à l'ange

 

 

 

 

 

SARDA

 

 

 

Tili engles nda-zamba ya Sarda na : eye akobo na, enyo y'abele minsisim mi Zamba zamgba aï atitie zamgba. Mayem enyin dzoe, watsog he na ovee, nde owu ya.

 

 

 

Hebege, otom nyol aï abim mam enyin aligi ya wa. Koa ! Mandzi ki yen enyin dzoe etoa ntut a mis me Zamba Woam.

 

 

 

Dugan tsog mbol onga noan ebug ; onyie dzo, obo fe esingi minsem. Amu nge wayi ki talaba, mayi so ane nwuwub, otege yem abog mayi wa so dilan.

 

 

 

Da, a Sarda, bod boe behog bandzi ki ve biwoman biaban mvit ; bayi wulu aï ma aï mimfum biwoman ;

 

 

 

Mayi ki dim dzoe die a kalara enyin, mayi kaman aï nye a mis me Tara aï a mis bengles boe.

 

 

 

Enyo abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda me Zamba.

 

 

 

 

 

SARDES

 

 

 

Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.

 

 

 

Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes oeuvres parfaites devant mon Dieu.

 

 

 

Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi.

 

 

 

Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.

 

 

 

Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.

 

 

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !

 

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 22:15
CAREME2010
Nnem (se prononce ANNEM) : Le Cœur
Benga yole : Ils (elles) ont appelé
Ma nyian : J’entre
Wa nyian : Tu entres
A nyian : Elle entre
Bya nyian : Nous entrons
Mia nyian : Vous entrez
Ba nyian : Ils (elles) entrent
 
 
 
Evangelium Nnem ngol Yesu Kristu ntilen Lukas – Ake le Yob Yesu
Akwi a soan, Ndo Yesu azu dzo aï bau na : Eye Mfufub Ntilan wakobo nala na Moan Zamba ayi dzugi aï mintye, akwi a soan a amos lala. Bengake fe bakad meyon mese, atarigi a Yerusalem, ne mevenan, asu bidzuga ya minsem miaban. E mina miayen dzam te aï mis man, miboolo a fe do.
Ndo mayi mina lom efaè menga kag. Asu te miayi tam taubau a Yerusalem ha, akelekwi ane mia dzié aï en ngul yayi mina so a yob. Amvus te, ndo angawulu aï bo hala akelekwi a Betania. Ete engo angasam mo, angave bo ntotomamaa. Abog avaa bo nye nala, ndo fo angakean asi, bengalugu nye : ndo fe bazu tye, bedugan a Yerusalem, bake batag, melu mete, benga be fo he a Tempel, belugu Zamba.
 
------------------------------------------------------
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc – la montée au Ciel de Jésus
Jésus ressuscité, apparaissant à ses disciples, leur disait : " Il fallait que s"accomplisse ce qui était annoncé par l"Écriture ; les souffrances du Messie, sa résurrection d"entre les morts le troisième jour,
et la conversion proclamée en son nom pour le pardon des péchés à toutes les nations, en commençant par Jérusalem.
C'est vous qui en êtes les témoins.
Et moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Quant à vous, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus d'une force venue d'en haut. "
Puis il les emmena jusque vers Béthanie et, levant les mains, il les bénit.
Tandis qu'il les bénissait, il se sépara d'eux et fut emporté au ciel.
Ils se prosternèrent devant lui, puis ils retournèrent à Jérusalem, remplis de joie.
Et ils étaient sans cesse dans le Temple à bénir Dieu.
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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 22:47

 

Metari

 

Ekuli-Mam Yesu Kristu ya Zamba anga kuli nye ne alede besie boe e mam menkun boban.

 

Anga lom Engles woe ne alede mo etuga dzie Yohannes y'anga boolo Ebug Zamba aï mboolan Yesu Kristu: biyen bi mam bise anga yen.

 

Ane mvom, e mod ayi lan, mwom fe e bod bayi wog bibug bi profet bi, nge benyie e mam mene etere, amu zuli Abog enga subu ya.

 

I :

Ma kobo Ewondo - Bekalara Asu Menda Me Zamba Ya Asia  

Ma, Yohanes, matil menda me Zamba zamgba ya Asia. Akubu mina gratsia aï mvoé, enyo y'ane, a ambe, a azu. Bekubu fe mina bya, minsisim mi zamba ya mitele etoa-kum dzié a osu. Akubu mina bia Yesu Kristu, y'ane mboolo bebela, Ntol ya bekon, ndzoe minkukuma ya si.

 

Adin bia, ndo anga sob bia minsem mian aï meki moe; anga tele bia minkukuma befada asu Zamba woe aï Esia woe: olugu aï ngul biakyebe hm aï nye a biseb. Amen

 

Enye nyoli azu a minkut ete; mod ose ayi nye yen, to eba benga tubulu nye aï akon, meyon mese ya si mayi nye yon. Owe! Amen!

 

Ma mene Alfa, metoa Omega, Nti Zamba enye akobo nala, Enyo y ane, a ambe, a azu Nti Bise.

 

 

Eyen ya Metari 

Ma, Yohanes, manyan wan aï eyon dzan a mindzug mise, aï a etie nkukuma aï a odzibi abe Yesu. Lenga bo na: metoa a elon ya Patmos, asu etsam Ebug Zamba aï Eboolo Yesu.

 

Ndo nsisim Zamba onga yala ma, mekuu ayie a amos Nti, menga wog kin eso ma amvus, ebama he ane ton.

 

Na: E dzam wayen dili, tili do a kalara, olomo kalara te a menda me Zamba zamgba: a Efesi, Smyrna, Pergama, Thyatira, Sarda, Filadelfia aï Laodisea.

 

Ndo menga venan amvus ne meyen e mod ben anga be aï e kin ekobogo aï ma nyi; avenan menga venan, mentala bekiendele ete, dzom he ane Moan mod, abege mod ndzombo edut, kanda mvot atii nye angedek. Nlo woe aï esil dzie bifumu he afuum, ane mimvot mintomba, he ane ten, mis moe mefiege he ane minkabag mi ndzoan; mekol moe mehiege azuon ane ekie mvot ya beman nyamela a mbun ndoan ete; kin dzie efulugan aï edun mesok me osoe.

 

Angabe bele a mbo-nnom woe atitie zamgba, ndzon oken bita meyo mebè ndzeban ndzeban, okwi nye a anyu; asu die lefiege he ane ondzi nlodzobo eseb.

 

Ayen menga yen nye, ndo fo menga ku nye a mekol asi, ekokom ekokom. Ndo anga namba ma aï mbo-nnom woe, nye aï ma na: Te wambara, Maa mene enyo ya Metari aï enyo ya Memana, enyo y'avee menga wu, ndo medugan ya vebe asu biseb biseb; ma mebele bidibiga bi Awu aï ebi ya Tolendon. Tili hm e mam ondem man yen mala: ema ya etoa dzi aï ema mayi soa amvus.

 

Atitie zamgba ya oyen mebele a wo mbo_nnom aï bekiendele be mvot, ndina ya ndimba te ene na: atitie zamgba ane beengles ya menda me Zamba Zamgba; bekiendele zamgba embo bene menda me Zamba meben.

 

I.

EFESI 

Tili engles ya nda -Zamba ya Efesi na : Enyo abele atitie zamgba a mbo-nnom, awulugu azan bekiendedele ete, akobo na : Mayem enyin dzoe, bisie bie aï odzibi woe ; mayem mben mben wase ki dzam dzibi bebe be bod.

 

Onga bobolo eba basun nkon apostel, ndo onga yen na bene bod medugan. One odzibi : ndo onga dzibi mindzug asu dzoe dam, tege ku som.

 

Da, bidzo mave wa, bine na onga dzoge edin dzoe ya osusua. Dugan tsog e hom ongasende, singi evus dzoe, odugan wulu ane osusua. Tege aï nala, ma zu tsende kiendele woe etie, nge wayi ki singi evus dzoe. To te nala, wakyebe mbol wafem e mam bod ya ngam Nikolas babo, mamen ma mafem fe mo.

 

Enyo abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda me Zamba : mayi bo na zingi edi bibuma ya ele enyin y'etele a Paradis Zamba.

 

II.

SMYRNA 

Tili engles ya nda -Zamba ya Smyrna na:

 

Enyo abele ndzon oken, ndzeban ndzeban, meyo mebè akobo na. Mayem Osuu aï Mvuaa, enyo y’anga wu ndo anga dugan womo, akobo na: Mayem mindzug mie ai mebua moe da obele te fe akuma aï bibug medzo bi e bod basun nkon Beyuden melig dzo na sinagoge Satan.

 

Te wambara mindzug miayanga wa: tam yen: Satan ayi fudi bevog y’abe mina a mimbog ne abobolo mina, miayi nden aï mebobela mete a tan melu awom.

 

Bo nkanga akelekwi a awu, eyon te mayi wa ve ekat enyin.

 

Enyon abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda me Zamba: zingi yayi ki mbara dzom asu awu béé.

 

III

PERGAMA 

Tili engles nda -Zamba ya Pergama na

 

Enyo abele ndzon oken, ndzeban ndzeban, meyo mebè akobo na. Mayem e hom otoa : e hom etoa-kum satan ene. Da oyeme aï dzoe dam akpim, wandzi ki siié dzoe dam, to a abog Antipas, bebela mboolo wom, ya benga woe abe mina, e hom Satan atoa.

Da, madzo wa aï dzom zin : mina bod mine, eba ya bayebe dokten Balaam ; anga be tindigi Balak ne akoli bon be Israel olam, asu ye na bedi tsit ya benga tuni ngunmelan, bebo fe ngobinda.

 

Bod behog ya ngam Nikolas bene fe abe wa. Aka singi evus dzoe, tege aï nala ma nyolo mazu luman aï bod bete aï oken bita ya anyu dam.

 

Enyo abele melo, awogo e mam Nsisim makad menda me zamba : Mayi ve zingi manna y'asolo, meve fe nye asongok afumu, obege mkpaman dzoe ya mod ayem ki, sesala he e mod anon asongok te.

 

IV

 

TYATIRA 

Tili engles nda -Zamba ya Tyatira na

 

Révélation de Jésus Christ
que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean,
lequel a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus Christ, tout ce qu'il a vu.

 

Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites! Car le temps est proche.

 

I : LES LIVRES POUR LES MAISONS de DIEU BASEES en ASIE

 

Moi, Jean, j'écris aux sept Églises qui sont en Asie: que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, et de la part de Jésus Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre!

 

A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang,
et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen!

 

Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen!

 

Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant.

 

 

Moi, Jean,votre frère et compagnon dans la persécution, la royauté et l'endurance avec Jésus. Je me trouvais dans l'île de Patmos à cause de la parole de Dieu et du témoignage pour Jésus.

 

C'était le jour du Seigneur ; je fus inspiré par l'Esprit, et j'entendis derrière moi une voix puissante,pareille au son d'une trompette.

 

Elle disait :" Ce que tu vois, écris-le dans un livre et envoie-le aux sept Églises : à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire,à Sardes, à Philadelphie et à Laodicée. "

 

Je me retournai pour voir qui me parlait. Quand je me fus retourné, je vis sept chandeliers d'or ;

 

et au milieu d'eux comme un fils d'homme, vêtu d'une longue tunique ; une ceinture d'or lui serrait la poitrine ; sa tête et ses cheveux blancs étaient comme de la laine blanche,comme la neige, et ses yeux comme une flamme ardente ; ses pieds ressemblaient à du bronze précieux affiné au creuset,et sa voix était comme la voix des océans ;

 

il avait dans la main droite sept étoiles ; de sa bouche sortait un glaive acéré à deux tranchants.Son visage brillait comme le soleil dans toute sa puissance.

 

 

 

Quand je le vis, je tombai comme mort à ses pieds,mais il posa sur moi sa main droite, en disant : " Sois sans crainte.Je suis le Premier et le Dernier,

 

je suis le Vivant :j'étais mort,mais me voici vivant pour les siècles des siècles,et je détiens les clés de la mort et du séjour des morts.

 

Écris donc ce que tu auras vu :ce qui arrive maintenant,et ce qui arrivera ensuite.

 

Voilà le sens secret des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite et des sept chandeliers d'or :les sept étoiles sont les Anges des sept Églises, et les sept chandeliers sont les sept Églises.

 

I. EPHESE

 

Écris à l'ange de l'Église d'Éphèse : Voici ce que dit celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite, celui qui marche au milieu des sept chandeliers d'or : Je connais tes oeuvres, ton travail, et ta persévérance. Je sais que tu ne peux supporter les méchants

 

Tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et que tu les as trouvés menteurs ;

 

que tu as de la persévérance, que tu as souffert à cause de mon nom, et que tu ne t'es point lassé.

 

Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour.

 

Souviens-toi donc d'où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières oeuvres ; sinon, je viendrai à toi, et j'ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes.

 

Tu as pourtant ceci, c'est que tu hais les oeuvres des Nicolaïtes, oeuvres que je hais aussi.

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : A celui qui vaincra je donnerai à manger de l'arbre de vie, qui est dans le paradis de Dieu.

 

  1. SMYRNA

 

Écris à l'ange de l'Église de Smyrne :

 

Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie :

 

Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

 

Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie.

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : Celui qui vaincra n'aura pas à souffrir la seconde mort.

 

III PERGAME

 

 

Écris à l'ange de l'Église de Pergame

 

 

Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants : Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure.

 

Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité.

 

De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes. Repens-toi donc ; sinon, je viendrai à toi bientôt, et je les combattrai avec l'épée de ma bouche.

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc ; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit.

 

 

 

IV THYATIRE

 

 

Écris à l'ange de l'Église de Thyatire

 

 

Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain ardent : Je connais tes oeuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières oeuvres plus nombreuses que les premières.

 

Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles.

 

Je lui ai donné du temps, afin qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de leurs oeuvres.
Je ferai mourir de mort ses enfants; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les coeurs, et je vous rendrai à chacun selon vos oeuvres. A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis: Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne.
A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes oeuvres, je donnerai autorité sur les nations. Il les paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d'argile, ainsi que moi-même j'en ai reçu le pouvoir de mon Père. Et je lui donnerai l'étoile du matin.

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises!

 

   

Eye akobo na : Moan Zamba ya mis mafulan aï nkabag ndoan, mekol mefulugan aï ekie-mvot. Mayem enyin dzoe : edin dzoe, nyebe woe, mvam dzoe, odzibi woe ; bisie bie biavu he mvuan.

 

E dzom mave wa bidzo ene na : wadzibi Yezabel, e mininga akad nyo na ane profet, ake aï besie bam a ndimi, atindi bo na bebo ngobinda aï ndian badi tsit ya batuni ngunmelan.

 

Menga ve nye abog ya

 

Eye akobo na : Moan Zamba ya mis mafulan aï nkabag ndoan, mekol mefulugan aï ekie-mvot. Mayem enyin dzoe : edin dzoe, nyebe woe, mvam dzoe, odzibi woe ; bisie bie biavu he mvuan.

 

E dzom mave wa bidzo ene na : wadzibi Yezabel, e mininga akad nyo na ane profet, ake aï besie bam a ndimi, atindi bo na bebo ngobinda aï ndian badi tsit ya batuni ngunmelan.

 

Menga ve nye abog ya

 

Eye akobo na : Moan Zamba ya mis mafulan aï nkabag ndoan, mekol mefulugan aï ekie-mvot. Mayem enyin dzoe : edin dzoe, nyebe woe, mvam dzoe, odzibi woe ; bisie bie biavu he mvuan.

 

E dzom mave wa bidzo ene na : wadzibi Yezabel, e mininga akad nyo na ane profet, ake aï besie bam a ndimi, atindi bo na bebo ngobinda aï ndian badi tsit ya batuni ngunmelan.

 

Menga ve nye abog ya singi bivus bie, akekwi ndo aben kodo a zen bisok dzié. Ma nyo, mazu nye dib aï okon a enon, menyu eba basem aï nye ekuk, nge baben bo esingi minsem. Mayi man woe boan boe : eyon te hm menda me Zamba mese mayi yem na me mason mebun aï minnem eyon te fe mayi yaan aï mod osse ane mimboan mie mine. Mfa wan, mina ya Tyatira, a miandziki toan dokten te, a miandzi ki yem bidog bi Satan ane mbol baloe, makad mina na makag ki mina mbege mfe. Da, edzi mibele, mibele dzo aï mo mebè akelekwi ane mayi dugan so. E zingi yayi lanan ebo esié dzam akelekwi a memana, mayi bo na adzoe meyon : ayi bo dzoe aï ntum ekié, he ane mbol memvie me vieg makar bole bifas. Eye hm Tara anga ve mamem edzoe nala a mo. Ndo a mayi nye ve otitie kidi. Enyo abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda me Zamba.

 

 

 

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Révélation de Jésus Christ (Apocalypse signifie révélation),

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 18:31
0MangueBibug (se prononce Bibuk ou BIBOUK) : Les mots
Madzeng : Je cherche
Wadzeng : Tu cherches
Adzeng : Elle (il) cherche
Biadzeng : Nous cherchons
Myadzeng : Vous cherchez
Badzeng : Ils (elles) cherchent
 
Matsog : Je pense (je réfléchis)
Watsog : Tu penses
Atsog : Elle pense
 
Ma dzeng bibug mene dzam tsog : Je cherche les phrases (et mots) dont je peux me souvenir
 
Malan : Je lis
 
Walan : Tu lis
 
Alan : Elle lit
 
Byalan : Nous lisons
 
Myalan : Vous lisez
 
Balan : Elles lisent
 
Mod : la personne
 
Ane mvom : Elle (Il) est heureux
 
Ma yen : Je vois
 
Wa yen : Tu vois
 
A yen : Elle (il) voit
 
Bya yen : Nous voyons
 
Mya yen : Vous voyez
 
Ba yen : Ils (elles) voient
 
Biyen bi mam bise anga yen : Que nous voyons toutes les choses qu'Il a vu
 
Ane mvom, e mod ayi lan : Heureux celui qui lit
 
Abog enga subu ya : Le temps est proche
 
Mvom (se prononce Mvoam") : Heureux, Chanceux
 
Yesu Kristu : Jésus Christ
 
Malom : J'envoie
 
Walom; tu envoies
 
ALom : Il (elle) envoie
 
ByaLom : Nous envoyons
 
Myalom : Vous envoyez
 
Balom : Elles (ils) envoient
 
Malom Mvoué wama : J'envoie mon copain „" Pour faire quelque chose)
 
Anga lom Engles woe : Il a envoyé son ange
 
Anga kuli nye ne alede besie boe e mam menkun boban : Dieu lui a donnée des révélations pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt.
 
Anga lom Engles woe ne alede mo etuga dzie Yohannes y'anga boolo Ebug Zamba aï mboolan Yesu Kristu: biyen bi mam bise anga yen. : Dieu lui a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean toutes les choses qu'il a réalisé
 
Akobo na : Il dit ceci
 
Mebè : Deux
 
Otoa : Tu demeures
 
Metoa : Je demeure, J'habite
 
Wotoa : Tu demeures, tu habites
 
Betoa : ils demeurent
 
Ma: Je, me voilà
 
Nyolo : Voilà
 
Ma nyolo mazu : Me voilà qui arrive, j'arrive
 
Mazu (se prononce MAAZOU): je viens
 
Wazu : tu viens
 
Azu : Il vient
 
Dzoe : Le nom
 
Abog : Aux jours, à l'époque
 
Bebela : La vérité, fidélité
 
Bebela mboolo wom : Mon témoin fidèle
 
Dzoe dam : Mon nom,Ma foi
 
Wandzi ki siié dzoe dam : Tu n'as pas renié ma foi
 
Masiié (se prononce Ma Siée: Je travailleCamer260112
 
Wasiié : Tu travailles
 
Asiié : Elle travaille
 
Byasiié : Nous travaillons
 
Myasiié : Vous travaillez
 
Basiié : Elles (ils) travaillent
 
E hom (se prononce EWOM) : Où, l'endroit
 
Etoa-kum : le trône
 
Da oyeme aï dzoe dam : Tu retiens mon nom
 
Wom (se prononce WOAM) : Mon
 
Mboolo : Témoin
 
Bebela mboolo wom : Mon témoin de vérité
 
Ya : Qui
 
Benga woe : Qui a été tué
 
Mina : Vous
 
Abe mina : Chez vous
 
Ma kobo : Je dis
 
Wa kobo : Tu dis
 
A kobo : Il dit, il parle
 
Bya kobo : Nous disons
 
Mya kobo : Vous dites
 
Ba kobo : Elles (ils) disent
 
Abele : Elle a
 
Melo : les oreilles
 
Enyo abele melo : Ceux (celles) qui ont des oreilles
 
Makad : Je dis
 
Wakad : tu dis
 
Akad : Elle dit
 
Bya kad : Nous disons
 
Mave : Je donne
 
Wave : Tu donnes
 
Ave : Il donne
 
Byave : Nous donnons
 
Myave : Vous donnez
 
Baave : Ils (elles) donnent
 
Asongok : Un caillou
 
Ngok : Un caillou, une pierre
 
Afumu (se prononce AFOUMOU) : blanc
 
Nye : lui ; elle
 
Meve fe nye asongok afumu : je lui donnerai un caillou blanc
 
Dokten : La doctrine
 
Bayebe : Ils acceptent, elles croient
 
Eba : Ceux, celles
 
Eba ya bayebe : Ceux qui croient
 
Tindigi : Attacher
 
Dzom zin : Quelque chose
 
Ya benga woe abe mina : qui a été mis à mort chez vous
 
Mayem e hom otoa : Je sais où tu demeures
 
Ndzon oken : l'épée aiguë
 
Meyo mebè : à deux tranchants
 
Bon (se prononce BOAN) : les enfants, les fils et filles
 
Bon be Israel : Les fils d'Israel
 
Tsit : la viande
 
Ngobinda : l'impudicité
 
Bedi tsit : Ils ont mangé la viande
 
Engles : Les anges
 
Mis (se prononce MISS) : Les yeux
 
Akobo na : Il parle ainsi
 
Nye (se prononce NIIE) : Lui, Elle
 
Mon (se prononce MOAN) : le Fils, la Fille
 
Mon (Moan) Zamba : Le Fils de Dieu
 
Menga ve nye : Je lui ai donné
 
Wonga ve nye : Tu lui as donné
 
Anga ve nye : Il lui a donné
 
Binga ve nye : Nous lui avons donné
 
Minga ve nye : Vous lui avez donné
 
Benga ve nye : Elles lui ont donné
 
Mekol : Les pieds
 
Nkabag : La flamme
 
Ndoan : Le feu
 
Nkabag ndoan : la flamme de feu
 
Ekie-mvot : L'airain ardent
 
Mefulugan : sont semblables, ressemblent
 
Mekol mefulugan aï ekie-mvot : Les pieds sont semblables à de l'airain ardent
 
Mafulan : Je ressemble
 
Wafulan : Tu ressembles
 
Afulan : Elle ressemble
 
Byafulan : Nous ressemblons
 
Myafulan : Vous ressemblez
 
Afulan : Elles (ils) ressemblent
 
Mafulan aï nkabag ndoan : comme (ressemble à ) une flamme de feu
 
-------------------------------------------------
 
Mon (se prononce Moan) Wama : Mon enfant
 
Bebo : Qu'ils (ou elles) fassent
 
Maabo : Je fais
 
Waabo : tu fais
 
Aabo : Elle fait
 
Bya bo : Nous faisons
 
Mya bo : Vous faites
 
Baa bo : Ils (elles) font
 
Mininga : La femme
 
E nyin (ou ényin) : La vie
 
Enyin dzoé : Ta vie
 
Profet : Prophetesse
 
Edin : L'amour (l'affection)
 
Edin dzoe : Ton amour, ton affection
 
Besié : Le travail
 
Besié bam : Notre travail
 
Engles : Les anges
 
Mis (se prononce MISS) : Les yeux
 
Akobo na : Il parle ainsi
 
Nye (se prononce NIIE) : Lui, Elle
 
Mon (se prononce MOAN) : le Fils, la Fille
 
Mon (Moan) Zamba : Le Fils de Dieu
 
Menga ve nye : Je lui ai donné
 
Wonga ve nye : Tu lui as donné
 
Anga ve nye : Il lui a donné
 
Binga ve nye : Nous lui avons donné
 
Minga ve nye : Vous lui avez donné
 
Benga ve nye : Elles lui ont donné
 
Mekol : Les pieds
 
Nkabag : La flamme
 
Ndoan : Le feu
 
Nkabag ndoan : la flamme de feu
 
Ekie-mvot : L'airain ardent
 
Mefulugan : sont semblables, ressemblent
 
Mekol mefulugan aï ekie-mvot : Les pieds sont semblables à de l'airain ardent
 
Mafulan : Je ressemble
 
Wafulan : Tu ressembles
 
Afulan : Elle ressemble
 
Byafulan : Nous ressemblons
 
Myafulan : Vous ressemblez
 
BAfulan : Elles (ils) ressemblent
 
 
 
 
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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 23:23

Ele : Un arbre

Yawum (se prononce YAVOUM) : Croît [du verbe croître]

Ese (se prononce ESSE) : Tout, tous,

Bibuma (se porte BIBOUMA) Fruits

Mimbembe : Les bons

Mimbembe bibuma : Bons Fruits

Ewoaban : est jeté

A Ndoan : Au feu

 

Miayi Boyem : Vous les reconnaîtrez

Yayi Kpeban : Sera coupé, est coupé

Awumu (se porte Avoumou) : Porte, produit

Bebè : De Mauvais

Bebè Bibuma : De Mauvais fruits

Benga fad : Ils ont cueilli

Tili engles nda -Zamba ya Tyatira na :

 

************************************************************

 

Eye akobo na : Moan Zamba ya mis mafulan aï nkabag ndoan, mekol mefulugan aï ekie-mvot. Mayem enyin dzoe : edin dzoe, nyebe woe, mvam dzoe, odzibi woe ; bisie bie biavu he mvuan.

 

 

 

E dzom mave wa bidzo ene na : wadzibiYezabel, e mininga akad nyo na ane profet : ake aï besie bam a ndimi, atindi bo na bebo ngobinda aï ndian badi tsit ya batuni ngunmelan.

 

Menga ve nye abog ya singi bivus bié, akekwi ndo aben kodo a zen bisok dzié.

 

 

 

Ma nyo, mazu nye dibaï okon a enon, menyu eba basem aï nye ekuk, nge baben bo esingi mimsem. Mayi man woe boan boe, eyon te hem menda me Zamba mese mayi yem na me mason mebun aï minnem ; eyon te fe mayi yaan aï mod ose ane mimboan miémine.

 

 

 

Mfa wan, mina ya Tyatira, a miandzi ki toan dokten té, a miandzi ki yem bidog bi Satan ane mbol baloe, makad mina na makag ki mina mbege mfe. Da edzi mibele, mibele dzo aï mo mebè akelekwi ane mayi dugan so.

 

 

 

E zingi yayi lanan ebo esie dzam akelekwi a memana, mayi bo na adzoe meyoa : ayi bo dzoe aï ntum ekié, he ane mbol memvie me vieg makar bole bifas. Eye hem Tara anga ve mamem edzoe nala a mo. Ndo a mayi nye ve otitie kidi. Eyon abele melo, awogo e mam Nsisim wakad menda Zamba,

 

 

 

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Écris à l'ange de l'Église de Thyatire

 

 

 

Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain ardent : Je connais tes oeuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières oeuvres plus nombreuses que les premières.

 

 

 

Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse : enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles.

 

 

 

Je lui ai donné du temps, afin qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité.

 

Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de leurs œuvres.

 

Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les coeurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres.

 

A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau, seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne.

 

A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes oeuvres, je donnerai autorité sur les nations.

 

Il les paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d'argile, ainsi que moi-même j'en ai reçu le pouvoir de mon Père. Et je lui donnerai l'étoile du matin.

 

Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !

 

 

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 23:15

Camer260112Nda Zamba y a TYATIRA : L'eglise de Tyatira


Mon (se prononce Moan) Wama : Mon enfant

Bebo : Qu'ils (ou elles) fassent

Maabo : Je fais

Waabo : tu fais

Aabo : Elle fait

Bya bo : Nous faisons

Mya bo : Vous faites

Baa bo : Ils (elles) font

 

Mininga : La femme

E nyin (ou ényin) : La vie

Enyin dzoé : Ta vie

Profet : Prophetesse

Edin : L'amour (l'affection)

Edin dzoe : Ton amour, ton affection

Besié : Le travail

Besié bam : Notre travail

 

Engles : Les anges

Mis (se prononce MISS) : Les yeux

Akobo na : Il parle ainsi

Nye (se prononce NIIE) : Lui, Elle

Mon (se prononce MOAN) : le Fils, la Fille

Mon (Moan) Zamba : Le Fils de Dieu

 

Menga ve nye : Je lui ai donné

Wonga ve nye : Tu lui as donné

Anga ve nye : Il lui a donné

Binga ve nye : Nous lui avons donné

Minga ve nye : Vous lui avez donné

Benga ve nye : Elles lui ont donné

 

Mekol : Les pieds

Nkabag : La flamme

Ndoan : Le feu

Nkabag ndoan : la flamme de feu

Ekie-mvot : L'airain ardent

Mefulugan : sont semblables, ressemblent

Mekol mefulugan aï ekie-mvot : Les pieds sont semblables à de l'airain ardent

 

Mafulan : Je ressemble

Wafulan : Tu ressembles

Afulan : Elle ressemble

Byafulan : Nous ressemblons

Myafulan : Vous ressemblez

Afulan : Elles (ils) ressemblent

Mafulan aï nkabag ndoan : comme (ressemble à ) une flamme de feu

 

Tili engles nda -Zamba ya Tyatira na :  Écris à l'ange de l'Église de Thyatire

 

Eye akobo na : Moan Zamba ya mis mafulan aï nkabag ndoan, mekol mefulugan aï ekie-mvot. Mayem enyin dzoe : edin dzoe, nyebe woe, mvam dzoe, odzibi woe ; bisie bie biavu he mvuan.

 

E dzom mave wa bidzo ene na : wadzibiYezabel, e mininga akad nyo na ane profet : ake aï besie bam a ndimi, atindi bo na bebo ngobinda aï ndian badi tsit ya batuni ngunmelan.

 

-------------------------------------------------

 

 

Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain ardent : Je connais tes oeuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières oeuvres plus nombreuses que les premières.

 

Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse : enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles.

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 23:58

Le nouveau Président, François Hollande, élu depuis à peine un jour. Il est élu depuis le 6 mai 2012, commence à décevoir les classes moyennes par certaines décisions. La plus écoeurante, qui consiste à augmenter de 25% l'allocation de rentrée scolaire, va contribuer à inciter les personnes déjà irresponsables à continuer à se « multiplier », juste pour bénéficier de cette hausse. Est-ce une décision juste ? Que vise exactement François Hollande. C'est dingue de se dire que ce président, à peine arrivé, vient d'augmenter les dépenses concernant l'assistanat en France. Il n'indique pas où il va récupérer les fonds pour financer les irresponsables qui font plein de gosses. Ce n'est pas difficile de le savoir, car ce sont les travailleurs moyens qui vont payer encore et toujours les dépenses inconséquentes de la gauche qu'il représente. En quoi cette décision valide un acte de justice ? Comment la justifie t'il ? Etait-ce nécessaire de la prendre cette décision ? Le Président Sarkozy, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher avait bien constaté que les dépenses liées au social étaient trop élevées en France et qu'il fallait faire le nécessaire pour les réduire.

 

Belle dépense (le financement de la hausse de rentrée scolaire) qui sera payée par les autres pour encourager des personnes utilisant les fonds de rentrée scolaire pour un autre usage que ce pour quoi c'est destinée. Il n'est pas judicieux de souligner que tous ces parents sont irresponsables, ce qui est certain, c'est qu'un grand nombre de familles font n'importe quoi. Est-ce normal de faire quatre gosses ou cinq dans une chambre qu'on loue chez un bailleur social, en sachant qu'on ne travaille pas, qu'on ne vit que des prestations familiales ? Comment éduquer ces personnes qui font n'importe quoi ? Pensent-elles que les autres citoyens français sont incapables de faire des gosses, voir de les éduquer ? L'acte de François Hollande n'a rien (En agissant ainsi ) d'éducatif ? Il n'est que dépensier. Certes, il se donne bonne conscience en réduisant les indemnités de certains hommes politiques, en revenant sur la retraite à 60 ans (pour ceux qui ont commencé à travailler tôt : 18 ans ou 16 ans et qui ont cotisé toutes leurs annuités), « pour la retraite, c'est une bonne décision mais comment pense t'il se montrer juste envers tous les français. Le blocage des prix de carburants est une bonne chose, mais que va t'elle apporter cette loi. Cette action est-elle efficace sur la durée ? Après trois mois, que se passe t'il ?

 

 

La décision du nouveau Président de la République de faire baisser les rémunérations du Président et des ministres est très courageuse. Il l'avait annoncé lors de sa campagne présidentielle. Les indemnités des députés et des sénateurs ne sont pas évoquées pour une éventuelle baisse, ce que souhaitait François Bayrou. Pour cette baisse des revenus qui contribuera à vider un peu les portefeuilles des hommes politiques du gouvernement, les citoyens français ne peuvent être qu'heureux, car elle va vraiment dans le sens opposé de l'autre Président, Nicolas Sarkozy, qui avait carrément presque tripler son indemnité de façon indécente. La baisse des rémunérations est une excellente décision, mais s'il augmente les charges des citoyens pour payer l'allocation de rentrée de certaines familles, il doit savoir qu'il vient de franchir un nouveau stade et qu'il faut se détendre. Il doit également apprendre à gérer les colères de mécontents qui paient pour tout.

Est

Il est à se demander quelles décisions irresponsables et dispendieuses seront prises par la suite par le cher nouveau Président de la France. Le sourire d'Hollande nous montre bien qu'il se «  moque » des français moyens, ceux qui bossent dur, ne gagnent pas trop pour être riches, gagnent suffisamment pour faire vivre leur famille, ont maximum entre deux et trois enfants. Paient le maximum d'impôts, n'ont pas droit aux prestations familiales car ils dépassent les plafonds de peu. Ils ne font pas beaucoup d'enfants car ils savent bien que cela coûte cher : l'éducation.

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