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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 21:44

Momer.jpgCe jeune français, a « pété » un cable, il a commis des horreurs qui sont impardonnables. Il rentre dans la catégorie des criminels compulsifs et réfléchis de ces dernières années en Occident qui tuent des citoyens sans raison.

 

Il est choquant de voir des jeunes ou autre adultes ou jeunes adultes encenser cet assassin. C'en est un et l'un des plus détestables. Il ne sert à rien de le défendre ou de lui trouver une excuse. Cet homme, après avoir assassiner froidement des militaires, s'est acharné sur une famille. La confession de la famille importe peu, même si tout le monde sait que ce dernier crime dont il s'agit est un crime racial, confessionnel. Y a t'il de l'idéologie derrière les actes manqués de cet homme ? Il a profité véritablement de ses activités parallèles et a en fait, développé une haine inouïe des autres, mais en particulier de ceux qui pratique le judaïsme. Quelle Honte, cet assassin a montré, rien ne justifiait ses meurtres. D'ailleurs il est mort de façon honteuse. Que ces personnes qui essaient de le vénérer comprennent qu'ils cautionnent la bêtise et la méchanceté gratuite.

 

Mohamed MERAH a tué plusieurs personnes, il n'y a rien à apprécier dans ce qu'il a fait. Avait-il de la colère ? Cela n'intéresse personne, il ne mérite pas un pardon. Il s'est permis d'arrêter brutalement la vie d'enfants. Il est impossible de mettre ses crimes sur le compte de la colère. Au vu de ce qui s'est présenté, le criminel et décédé Mohamed MERAH, n'avait pas de colère. Il a prémédité ses meurtres. Qu'avait-il ? La colère ? Non ? Ce meurtrier ne pouvait avoir de la colère. Il n'était pas fou. Il est utile de rappeler que la colère est une émotion qui aliène le sujet, elle est une folie. L'ex-toulousain, a voulu que l'on parle de lui. Les média se sont penchés sur son cas et ce dernier a développé son côté noir, narcissique. La haine de MERAH a entretenu le ressentiment, tout ceci dans la pensée commune nourrissait son intention de nuire. Faut-il que ce soit aux autres d'assumer l'échec ou les échecs de sa vie ? Non, d'aucun dans nos cités ont facilement tendance à mettre la faute de leur échec personnelle sur les autres. Il est possible de vivre en cité HLM et de s'en sortir. Certes il n'y aura pas les mêmes moyens mis en œuvre que dans les banlieues riches. Les professeurs absents sont remplacés dans la banlieue riche, alors que dans la pauvre, les enfants, jeunes de collèges ou lycées vont se retrouver pendant plusieurs jours, voir semaine sans enseignant(e)s.

 

Tous les enfants de ce pays ne sont pas dans les mêmes draps que ceux des hommes politiques ou hommes et femmes d'affaires. L'absence de conditions matérielles et logistiques pratiques pour la réussite scolaire et plus tard professionnelle, ne justifie pas les assassinats de Mohamed MERAH, qui sont abjects. Il n'est donc pas nécessaire de faire passer MERAH pour un héros, c'est triste à dire, il est plutôt un ZERO, il a détruit n vies. Ce qui ne le grandit pas. Il pouvait avoir toutes les raisons du monde pour être en colère, cela ne justifiait pas qu'il déverse sa rage sur ses pauvres gens qu'il a tués, sur ces familles qu'il a disloquées. Non, Non, Mohamed MERAH, fût-il mort, ne mérite pas les honneurs que certains jeunes adultes, adultes ou adolescents et paumé(e)s de nos cités et banlieues font de lui.

 

La violence suppose un échappement au contrôle : l’explosion émotive se libère en déchaînements paroxystiques, cris et gesticulations. Mohamed MERAH est un personnage violent, incapable de se contenir, qui recherchait dans sa propre frénésie une sorte d’apaisement. C'était un homme en rupture sociale. Il était au plus mal car il ne parvenait plus à se retrouver. Il a franchi un cap où il s'est mis au banc de la société. Emporté par une tempête émotionnelle qui n'a aucune explication logique, Mohamed MERAH n'a pas semblé regretter ses actes, avant de se faire tuer, car c'est ce qu'il cherchait ou recherchait en fin de compte. IL aurait pu se rendre pour qu'il y ait un jugement, il a préféré disparaître et laisser tout le monde dans le doute et l'incompréhension. C'était un homme insociable. Son insociabilité a en effet précipité du changement dans son existence et la révolte injustifiée sur ces personnes exécutées. Derrière ses actes, il n'y a rien qui soit découvert, des injustices à dénoncer, des corruptions à combattre. Rien de tout cela. L’insociabilité, vue sous l'angle Mohamed MERAH, est extrême violence, et la violence détruit bien souvent ce que le temps a laborieusement construit. Comme tout le monde l'a vu et entendu durant plusieurs jours, la violence détruit l’homme. Il n'y a rien de positif dans la violence. Bien que le philosophe Kant nous laisse percevoir que la violence peut avoir un sens positif dans la mesure où elle peut contribuer au progrès de l’humanité dans l’Histoire.

 

Les personnes (jeunes, jeunes adultes, adultes) qui encensent ce que cet homme Mohamed MERAH a fait, semblent n'avoir rien compris à la vie. Ils n'ont pas besoin d'assimiler et de tout mélanger. Il ne faut pas non plus confondre le combat des palestiniens et Israël aux monstruosités de ce jeune français des cités. Ce n'est pas un conquérant qui doit être aimé ou vénérer, ce n'est qu'un Assassin. Il n'a gagné aucune victoire à part apporter le malheur dans des familles. Il n'est moteur de rien, encore moins Porteur d'un message. Il est à oublier, sans pour autant penser qu'il a été pardonné. Il n'a atteint aucune fin, à part la sienne. Il n'est détenteur d'aucune vérité.

 

Il faut oublier Mohamed MERAH et ne pas l'acclamer. Sa violence ramène à la Discorde et au Chaos.

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 23:17

Les hommes politiques en cette période électorale présidentielle et législative semblent ne pas souhaiter aborder ce sujet sensible, mais au combien préoccupant. Nombre de personnes faisant partie des classes moyennes, sont choqués de voir que certaines familles vivant d'assistance s'en sortent bien mieux qu'elles, qui travaillent et paient leurs impôts. Y a t'il une justice entre les individus? Pas sûr? Que font les hommes politiques par rapport aux lois pour équilibrer ces injustices?     Solidarite-France.jpg

La France parle de fraternité , égalité et liberté. L'égalité qui semble se dessiner dans le domaine de l'assistance, lèze une grande partie de la population qui travaille et gagne peu pour s'en sortir. Comment se fait-il qu'un grand nombre d'assistés bénéficiant des minima sociaux aient construits de "sacrés" biens dans leurs pays d'origine sans avoir jamais travaillé en France métropolitaine ? Tout le monde sait qu'il y a un problème de chômage en France, certains patrons dans le bâtiment exploite de la main d'oeuvre bon marché, se trouvant en situation irrégulière. De gros patrons dans des sociétés côtées en bourse abusent de cette manne en effectuant de la sous-traitance à outrance. Les "illégaux" ne pourraient être accusés de bénéficier des aides sociales ou de l'assistance. Ils peuvent se trouver dans une situation unique d'aide sur le plan santé : Aide Médicale d'Etat qui n'est pas gratuit et qui coûte également.

A cause de ceux qui abusent du système et vu l'absence de contrôles, et de divers vérificateurs (peu d'effectifs chez les fonctionnaires contrôleurs) ou du laxisme ambiant dans certaines fonctions publiques, les gens bien-pensants peuvent se révolter contre toutes ces personnes qui profitent du système et font n'importe quoi. Le système français n'est peut-être pas le plus généreux en Europe, mais il présente et représente beaucoup de failles dans lesquelles, les malhonnêtes s'enfoncent, s'y engoufrent et bénéficient de toutes les faveurs que le système leur offre.

Est-ce juste qu'un couple (jeune ou non) avec enfants, travaillant et demandant un logement se voit refouler (dossier rejeté) sur le principe qu'ils ne gagnent pas assez? Est-ce normal que d'autres avec enfants (le même que la famille travailleuse), ne travaillant pas et demandant un logement social, se voit attribuer le logement plus vite que le couple méritant. C'est une forme d'injustice qui se matérialise au quotidien en France. En énoncant les termes couple méritant, il est possible que certains soient choqués, mais c'est fait exprès. Ce couple particulier qui gagne juste les minima en matière de salaire, est moins bien lôti que les pauvres assistés (magouilleurs), car c'est à la sueur de son front qu'ils (Monsieur et Madame), se débrouillent pour produire de quoi faire vivre leur ménage. Ils ont parfois le SMIC fois deux ou le SMIC et demi. A force de voir ces "parasites" qui profitent du système, il n'est pas étonnant que plusieurs personnes "saines d'esprit" soient choquées par de tels abus. Nous pouvons en généralisant indiquer que l

a France donne l'impression d'être un pays d'assistés. Il ne faut pas généraliser car des pauvres honnêtes, cela existe. Des pauvres qui veulent bosser, celà existe aussi. Des pauvres qui n'ont d'appellation que le terme "PAUVRE" et produisent par des voies illicites des biens mal acquis, existent également. Et ces derniers sont ceux qui s'excitent le plus et qui réclament en permanence de l'assistance. Des pauvres dignes existent et ceux là ont bien souvent du mal de se rendre au service social pour réclamer l'aide à laquelle ils ont droit.

Les chômeurs sont-ils tous des pauvres, c'est difficile à caractériser. Un chômeur qui perçoit plus que le SMIC n'est pas catalogué comme tel, car ses revenus sont supérieurs au SMIC et il n'a qu'un souci particulier, c'est que son niveau de vie doit être revu à la baisse. Il est évident que s'il ne retrouve pas un travail dans un laps de temps donné assez rapide, il va véritablement dégringoler pour devenir un pauvre. Le pauvre doit être aidé par la solidarité nationale. Dans les années soixante-dix, il s'agissait d'améliorer la qualité de la vie dans un contexte de croissance et une société d'abondance, une partie de la population vivait avec des ressources insuffisantes. Dans les années quatre-vingts, la pauvreté résulte de la crise et du chômage. Elle n'est plus seulement due à une insuffisance de ressources mais aussi à une situation d'exclusion sociale. Cette nouvelle pauvreté concerne des ménages en situation précaire, c'est-à-dire vulnérables à toute diminution de leur pouvoir d'achat et qui, normalement insérés dans la société se trouvent pris dans un processus d'exclusion progressive.

La loi n° 88-1088 du 1er décembre 1988, instituant le revenu minimum d'insertion a pour objet d'assurer des moyens convenables d'existence à toute personne qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation de l'économie et de l'emploi, se trouve dans l'incapacité de travailler. Cette loi reconnaît un droit nouveau, celui d'obtenir de la collectivité des moyens d'existence. Le RMI, fondé sur la solidarité nationale, constitue une nouvelle catégorie de prestation sociale garantissant à toute personne un minimum de ressources. Elle est une allocation différentielle destinée à ceux dont le revenu n'atteint pas un certain niveau. Elle est égale à la différence entre, d’une part, le montant maximum du RMI calculé selon la composition du foyer, et, d’autre part, l’ensemble des ressources mensuelles de la famille (l'allocataire, le conjoint et les enfants de moins de 25 ans).

 

Au départ, le contrat d'insertion vise à éviter de faire du RMI (revenu minimum d'insertion) seulement une allocation d'assistance mais à aider la personne à laquelle elle est attribuée à définir un projet d'insertion. Or cette bonne résolution n'a jamais été tenue. Des personnes ayant reçu le RMI en 1988, le perçoivent encore aujourd'hui, est-ce normal? NON. D'autres touchent le revenu minimum d'insertion en restant en Afrique. Il reviennent tous les trois mois pour l'actualisation de leur dossier et ils repartent après. Où est-elle appliquée cette mesure d'insertion. Combien de personnes au RMI sont vraiment dans cette posture d'insertion. Le nombre doit être infime sur l'ensemble des assistés percevant cette manne. C'est alors que l'assistanat entre en jeu et fausse les données sociales. Pourquoi avoir réduit le nombre de contrôleurs susceptible de mettre à jour les fraudes aux prestations sociales qui génére un gouffre financier au niveau des aides de l'Etat.

L'organisation et les modalités du RMI ont évolué du fait de la réforme de la décentralisation en 2003. Ainsi la

loi n° 2003-1200 du 18 décembre 2003 portant décentralisation en matière de revenu minimum d'insertion et créant un revenu minimum d'activité  transfère des services déconcentrés de l'État à la collectivité locale départementale la charge de l'allocation du RMI. Le revenu minimum d'activité (RMA) est proposé dans le cadre du contrat d'insertion conclu par les personnes qui bénéficient du RMI depuis deux ans au moins. Depuis 2007 une réforme des politiques d'insertion vise à généraliser sur l’ensemble du territoire national le revenu de solidarité active (RSA)  et à instituer un contrat unique d’insertion afin de simplifier les dispositifs existants, d'inciter à la reprise d’activité et de lutter contre la pauvreté au travail.

D'aucuns peuvent dire que si l'assistance se développe et progresse, c'est due au chômage long et massif. Le raccourci est vite fait lorsqu'on parle d'assistanat car certains peuvent croire ou faire croire que l'idée est de stigmatiser les immigrés. Il s'agit juste de percer l'abcès. Un ensemble d'individus ayant droit à ces aides ne le sollicitent pas car elles ont peur d'être stigmatisés. Combien de gens honnêtes ont peur de se rendre au service social pour demander à bénéficier du RSA activité? D'autres abusent de toutes les aides et contribuent à créer des injustices.

Assistance.jpg

Il est utile de réfléchir à une manière de faire en sorte que les bénéficiaires du revenu de solidarité active rendent un petit service à la société en retour de cette aide, effectuer des travaux d'intérêt social est une bonne idée. Elle ne leur donne pas du travail, mais elle équilibre le fait qu'on a rien sans rien. Est-ce normal que des gens perçoivent le RMI puis le RSA depuis près de 24 ans? La collectivité a le droit d'exiger des contreparties de son assistance aux bénéficiaires du RSA , même si cette solution est mal perçue. Quelle est l'efficacité de l'action publique pour les personnes éloignées de l'emploi qui font partie des pauvres? Le RSA a été conçu pour rendre incitatif le travail. Au vu des résultats globaux, il faut reconnaître que le RSA (ex RMI) est un échec. Les agents d'insertion et autres agent du Pôle emploi qui sont peu nombreux n'arrivent pas à inciter les gens à travailler, ni à les accompagner dans leur démarche de quête de travail.

 

Pour éviter les escroqueries au RSA (ex-RMI), les candidats à l'élection présidentielle et autres hommes politiques doivent réfléchir pour améliorer la situation actuelle de ces fonds d'aides destinés à la solidarité nationale.

 

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 16:08
La main mise des Voyous dans les QUARTIERS GHETTOÏSES FRANCAIS est dûe au laxime des hommes politiques et à la  Faute aux différents gouvernements ! ! ! 

 
D'où a t'on vu une poignée de délinquants, dealers ou autres jeunes voyous « en échec scolaire » fouiller des habitants qui rentrent dans leur immeuble HLM ? Sous le prétexte que ces locataires et leurs familles viendraient les espionner. Clichy-sous-Bois, Epinay, Sevran, La Courneuve, Bobigny, Stains, Noisy-le-Grand, et bien d'autres villes de banlieue dans le Val d'Oise ont des quartiers où les habitants vivent dans un climat d'insécurité permanente. Est-ce normal ? Les habitants français entendent dans les médias, le président-candidat Sarkozy émettre des observations sur la sécurité qu'il n'a pas mis en application durant Cinq ans. Il prend les citoyens pour des idiots. Que connaît-il de la vie d'une famille qui vit au Clos Saint-Lazare, ou d'une autre qui vit dans le quartier Toulouse Lautrec, ou du quartier les Camenberts ou les 4000 ou les 3000 ou les Francsmoisiens (rénovés depuis peu) où des racailles ont installé leurs commerces et font leur loi. Les habitants du quartier se retrouvent contraints de suivre sagement le mouvement, sinon ils vont se faire agresser et menacer. Sarkozy est un champion de la polémique, il parle de tergiverser, finasser, au sujet de ses adversaires, il parle de protection des français alors qu'il n'en a cure. En quoi a t'il protéger les citoyens durant ces cinq années de gouvernance. Il n'a rien fait de concret. Les personnes ont toujours peur dans leur quartier. Il ne faut pas oublier que ce cher Président de la République a réduit les effectifs de police. Or ces derniers (les policiers) sont importants dans les déplacements et autres rondes qui font dans les quartiers, ils rassurent la population et peuvent ainsi faire ce qui est essentiel, la protéger. Les trafiquants peuvent ainsi se déplacer vers d'autres lieux et non pas s'installer impunément.
Il ne faut pas stigmatiser les jeunes des cités, ceux qui gênent les habitants correspondent à une poignée d'individus. Ce sont les mêmes qui font les rodéo, qui conduisent comme des fous furieux, qui harcèlent, et j'en passe. Cette même poignée d'individus roulent dans des gros bolides ou des voitures hors de prix, sans travailler, ou alors au crochet de la société par le biais du RSA. Quiconque connaît le montant du revenu de solidarité active socle, doit savoir que ce n'est pas cette somme attribuée indûment à certaines personnes qui permet de vivre à ce train dispendieux. Sarkozy avait laissé entendre lors de sa première candidature en 2007 qu'il y aurait des contrôles des richesses acquises sans travailler, il n'en a rien été. Il suffit de traîner dans les banlieues ou sur les autoroutes et autres périphériques parisiens pour voir cette poignée de jeunes flambeurs, qui sont pour beaucoup au RSA. C'est méprisant de la part de nos dirigeants pour toutes ces personnes (femmes volontaires et autres hommes) qui font des ménages dans les entreprises françaises pour des salaires injurieux de 500 à 700 euros. Ces personnes se lèvent tous les jours à des heures matinales de quatre ou cinq heures du matin pour des contrats de temps partiel injustes.
Mohamed Merah qui a tué des personnes, méritait-il de vivre après ces meurtres ? Nous n'y croyons pas, vu la douleur qu'il a semé dans toutes ces familles. Il est évident que l'avis de ceux qui souhaitaient le voir mort, ne correspond pas au fonctionnement de la justice française. En sachant qu'aucune famille qui aurait vu un des siens assassiné par ce « démon », n'aurait accepté de le voir aller en prison. Il a basculé dans la radicalisation islamite. Faut-il lui trouver une excuse ? Non. Pourquoi faut-il mettre son comportement déviant sur un quelconque ressentiment envers la société ? Pourquoi faut-il mettre la faute sur le quartier ghetto ?
Combien de jeunes s'en sortent dans ces quartiers dits difficiles ? Il ne faut pas oublier que ce sont les jeunes voyous qui contribuent à la stigmatisation de ces quartiers dits pauvres. Le meurtrier Merah a été tué, Sarkozy dit assumer tout ce qui s'est passé sur Toulouse, quelle honte ? Avoir passé près de trente heures pour aboutir à une exécution, triste bilan. Cette exécution aurait pu être réalisée dans les premières heures. Tous ces policiers, pompiers qui vont avoir des heures supplémentaires à payer ou éventuellement à récupérer. Le bilan du Président-candidat envers la délinquance est médiocre sur la période des cinq ans écoulés. Etre frustré ou avoir vécu dans un quartier ghetto ou zones urbaines sensibles (ZUS) ne mène pas systématiquement à la radicalisation ou à l'islamisation. Il est possible d'être immigré et intégré, sans avoir besoin de devenir djihadiste.Des-Voyous.png
Le jeune assassin avait frappé la maman d'un jeune toulousain qui lui demandait d'arrêter d'endoctriner son fils. Elle a porté plainte, et rien n'a été fait par la justice. Cette femme exprimait la crainte dans laquelle elle vivait après son agression. Est-ce juste que la justice française ait abandonné cette femme à son triste sort. ?Tous les habitants (français d'origine étrangère) qui ont vécu dans ces ghettos (banlieues) français, ont pu connaître un niveau d'exclusion, de désespérance, de sentiment d'injustice, ces ressentiments ne les ont pas forcément entraîné à devenir des personnes embrigadés dangereuses pour les autres citoyens de la société. Il est temps pour les hommes politiques de comprendre qu'ils ne doivent pas abandonner les citoyens des banlieues. Ils doivent changer les règles, ou du moins les faire appliquer. Faut-il avoir peur d'agir envers les voyous sous le prétexte qu'il y aurait émeutes ou autre choses farfelus ? Il est temps pour la justice et la police de faire peur aux voyous. Que les hommes politiques laissent travailler les forces de l'ordre, en étant vigilant sur les abus qui pourraient dévier juste sur les délits de faciès et autres caractéristiques raciales ou confessionnelles.
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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 23:49

Le président français passe son temps à donner des leçons de morale aux français, or il ne prend aucune résolution censée pour que les citoyens prennent confiance en lui.

 

 

Le président français est toujours prêt à demander des efforts aux français. On dira exactement qu'il veut en permanence faire mal aux classes moyennes qui paient plus que tout le monde. Nicolas Sarkozy a une haine prononcée pour les fonctionnaires ( l'Etat, l'hospitalière et la territoriale). C'est permanent d'entendre dans ses propos qu'il faut réduire le nombre de fonctionnaires, ces personnes font partie des classes moyennes. Ce sont celles qui ont un pouvoir d'achat faible, qui paient le plus au niveau des impôts. C'est parce que je crois au service public que je veux qu'il continue à se moderniser.

 

 

 

Le président Nicolas Sarkozy demande aux autres de faire des efforts, mais il ne demande pas aux financiers de faire de même. Il ne parle pas de baisser son salaire qu'il ne mérite pas. Ce salaire qui a été presque triplé par rapport à ce que le président Chirac percevait. Il (Sarkozy) ne demande pas aux députés de baisser leurs indemnités qui sont très élevées. Il ne parle pas de faire baisser les indemnités des sénateurs, ni de faire baisser le salaire élevé des ministres. Ces différentes solutions d'économie sur plusieurs mois feraient de belles économies à la France. Ce qui préoccupe Sarkozy, c'est de faire augmenter les taxes diverses (TVA, impôts, etc). Tous les actes du président Nicolas Sarkozy, les réformes fiscales, le sauvetage des banques sans contrepartie, montre qu’il gouverne pour la finance.

 

 

 

Sarkozy parle tout le temps de courage, faut-il qu'il nous prenne « les français » pour des couards ? Qu'il soit courageux de faire baisser tous les salaires des ministres, le sien, les députés et les sénateurs. Le monde parlera alors du courage de ce Sarkozy qui use et abuse du mot « COURAGE ». Le président des français doit se remettre en question, or il ne se dirige pas vers cette voie, car il n'a rien à dire, à part nous berner. Le coût de la vie a augmenté, cela ne semble pas l'ennuyer. Il continue à faire des promesses or ce n'est pas ce dont les citoyens ont besoin. Nous voulons du concret.

 

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 16:00

 Je diffuse le courrier de mon père sur mon blog à sa demande. Il a été choqué des réactions du gouvernement et des récentes positions de notre président. C'est bien triste tout ce qui se passe, car nos dirigeants semblent oublier d'ou nous venons et ce qui a créé et organisé notre pays.

 

D'ou la réaction de mon père est une réponse naturelle à ce qui le met en colère et le contrarie.

 

 

J’AI HONTE D’ETRE FRANÇAIS

Je suis français de souche, comme disent certains, et, jusqu’à ces derniers temps, j’étais relativement fier de l’être. Toutefois, depuis que Nicolas Sarkozy a pris le pouvoir, cette fierté en déjà avait pris un sérieux coup et, de plus en plus, à chaque fois que, avec sa soi-disant parole de vérité qui n’est en fait que la langue de bois du populisme, il donne des coups de boutoir contre les étrangers ou les  « français d’origine étrangère », selon cette dénomination bizarre.

Mais le dernier sondage qui montrerait qu’une large majorité de mes congénères s’alignent sur les thèses racistes du président, lesquelles rejoignent, voire dépassent celles de Lepen, a franchi pour moi la cote d’alerte : une fois de plus,- car ce n’est pas la première fois – j’ai honte d’être français.

Je pensais que notre pays qui, depuis les vagues de huns et autres barbares déferlant sur notre Gaule jusqu’aux italiens, aux portuguais, aux hongrois et autres européens du centre, s’est construit par l’apport incessant de sang neuf et de culture étrangère était capable de continuer à accueillir largement ceux que, pour des raisons diverses, notre pays fascine. Ce repli identitaire sur soi, cet esprit de discrimination entre les différentes générations d’étrangers naturalisés français me convainquent, une fois de plus, que notre glorieuse civilisation occidentale est sérieusement malade ; les tendances xénophobes triomphent malheureusement dans de nombreux pays d’Europe sous divers aspects : que le soit les cris de singe sur les stades de foot-ball, les expulsions de roms ou de sans papier, les contrôles policiers au faciès, les discriminations insidieuses à l’emploi ou au logement…

 

Je crois qu’avec cet état d’esprit notre belle civilisation, si fière de ses conquêtes et de ses prouesses scientifiques et techniques, est en train d’abdiquer son passé glorieux de liberté, égalité, fraternité, et de creuser sa propre tombe tandis que d’autres peuples plus jeunes, plus dynamiques et plus ouverts s’empresseront de la remplacer.

 

Jean-Louis MAROLLEAU

 

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