Ce jeune français, a « pété » un cable, il a commis des horreurs qui sont impardonnables. Il rentre dans la catégorie des criminels compulsifs et réfléchis de ces dernières années en Occident qui tuent des citoyens sans raison.
Il est choquant de voir des jeunes ou autre adultes ou jeunes adultes encenser cet assassin. C'en est un et l'un des plus détestables. Il ne sert à rien de le défendre ou de lui trouver une excuse. Cet homme, après avoir assassiner froidement des militaires, s'est acharné sur une famille. La confession de la famille importe peu, même si tout le monde sait que ce dernier crime dont il s'agit est un crime racial, confessionnel. Y a t'il de l'idéologie derrière les actes manqués de cet homme ? Il a profité véritablement de ses activités parallèles et a en fait, développé une haine inouïe des autres, mais en particulier de ceux qui pratique le judaïsme. Quelle Honte, cet assassin a montré, rien ne justifiait ses meurtres. D'ailleurs il est mort de façon honteuse. Que ces personnes qui essaient de le vénérer comprennent qu'ils cautionnent la bêtise et la méchanceté gratuite.
Mohamed MERAH a tué plusieurs personnes, il n'y a rien à apprécier dans ce qu'il a fait. Avait-il de la colère ? Cela n'intéresse personne, il ne mérite pas un pardon. Il s'est permis d'arrêter brutalement la vie d'enfants. Il est impossible de mettre ses crimes sur le compte de la colère. Au vu de ce qui s'est présenté, le criminel et décédé Mohamed MERAH, n'avait pas de colère. Il a prémédité ses meurtres. Qu'avait-il ? La colère ? Non ? Ce meurtrier ne pouvait avoir de la colère. Il n'était pas fou. Il est utile de rappeler que la colère est une émotion qui aliène le sujet, elle est une folie. L'ex-toulousain, a voulu que l'on parle de lui. Les média se sont penchés sur son cas et ce dernier a développé son côté noir, narcissique. La haine de MERAH a entretenu le ressentiment, tout ceci dans la pensée commune nourrissait son intention de nuire. Faut-il que ce soit aux autres d'assumer l'échec ou les échecs de sa vie ? Non, d'aucun dans nos cités ont facilement tendance à mettre la faute de leur échec personnelle sur les autres. Il est possible de vivre en cité HLM et de s'en sortir. Certes il n'y aura pas les mêmes moyens mis en œuvre que dans les banlieues riches. Les professeurs absents sont remplacés dans la banlieue riche, alors que dans la pauvre, les enfants, jeunes de collèges ou lycées vont se retrouver pendant plusieurs jours, voir semaine sans enseignant(e)s.
Tous les enfants de ce pays ne sont pas dans les mêmes draps que ceux des hommes politiques ou hommes et femmes d'affaires. L'absence de conditions matérielles et logistiques pratiques pour la réussite scolaire et plus tard professionnelle, ne justifie pas les assassinats de Mohamed MERAH, qui sont abjects. Il n'est donc pas nécessaire de faire passer MERAH pour un héros, c'est triste à dire, il est plutôt un ZERO, il a détruit n vies. Ce qui ne le grandit pas. Il pouvait avoir toutes les raisons du monde pour être en colère, cela ne justifiait pas qu'il déverse sa rage sur ses pauvres gens qu'il a tués, sur ces familles qu'il a disloquées. Non, Non, Mohamed MERAH, fût-il mort, ne mérite pas les honneurs que certains jeunes adultes, adultes ou adolescents et paumé(e)s de nos cités et banlieues font de lui.
La violence suppose un échappement au contrôle : l’explosion émotive se libère en déchaînements paroxystiques, cris et gesticulations. Mohamed MERAH est un personnage violent, incapable de se contenir, qui recherchait dans sa propre frénésie une sorte d’apaisement. C'était un homme en rupture sociale. Il était au plus mal car il ne parvenait plus à se retrouver. Il a franchi un cap où il s'est mis au banc de la société. Emporté par une tempête émotionnelle qui n'a aucune explication logique, Mohamed MERAH n'a pas semblé regretter ses actes, avant de se faire tuer, car c'est ce qu'il cherchait ou recherchait en fin de compte. IL aurait pu se rendre pour qu'il y ait un jugement, il a préféré disparaître et laisser tout le monde dans le doute et l'incompréhension. C'était un homme insociable. Son insociabilité a en effet précipité du changement dans son existence et la révolte injustifiée sur ces personnes exécutées. Derrière ses actes, il n'y a rien qui soit découvert, des injustices à dénoncer, des corruptions à combattre. Rien de tout cela. L’insociabilité, vue sous l'angle Mohamed MERAH, est extrême violence, et la violence détruit bien souvent ce que le temps a laborieusement construit. Comme tout le monde l'a vu et entendu durant plusieurs jours, la violence détruit l’homme. Il n'y a rien de positif dans la violence. Bien que le philosophe Kant nous laisse percevoir que la violence peut avoir un sens positif dans la mesure où elle peut contribuer au progrès de l’humanité dans l’Histoire.
Les personnes (jeunes, jeunes adultes, adultes) qui encensent ce que cet homme Mohamed MERAH a fait, semblent n'avoir rien compris à la vie. Ils n'ont pas besoin d'assimiler et de tout mélanger. Il ne faut pas non plus confondre le combat des palestiniens et Israël aux monstruosités de ce jeune français des cités. Ce n'est pas un conquérant qui doit être aimé ou vénérer, ce n'est qu'un Assassin. Il n'a gagné aucune victoire à part apporter le malheur dans des familles. Il n'est moteur de rien, encore moins Porteur d'un message. Il est à oublier, sans pour autant penser qu'il a été pardonné. Il n'a atteint aucune fin, à part la sienne. Il n'est détenteur d'aucune vérité.
Il faut oublier Mohamed MERAH et ne pas l'acclamer. Sa violence ramène à la Discorde et au Chaos.